Chère Denise
j'ignorai la maladie d'Yves et j'apprends la cruelle nouvelle avec beaucoup d'émotion. je te prie d'accepter toutes mes condoléances et mon amical soutien en ces instants difficiles.
Je garderai le souvenir de nos parties acharnées de basket dans la cour d'Arago ainsi que beaucoup d'autres bons moments partagés avec ce bon copain de jeunesse, revu avec plaisir l'an dernier à Aimé Giral, dans ce stade où il a brillé.
Amitiés.
Michel