Georgette Marchand

C’est avec tristesse que nous, ta sœur Madeleine, ton frère Pierre, Ghislaine, et leurs enfants Céline et Denis, vivons ton départ.

Les souvenirs reviennent en nous préparant à cet adieu à Perpignan

Ce sont les moments de nos rencontres de famille, avec l’accueil et le dévouement que tu nous réservais.

C’est avec Riquet, ton mari, que se révélaient aussi les attentions chaleureuses à notre famille, dans votre résidence à Caluire ou bien dans la petite maison de Port Barcares.

Votre générosité était aussi dans toutes vos attentions, lors des naissances et fêtes de nos enfants puis petits enfants.

Tu es partie à petits pas, au fil des dernières années, mais notre peine est grande aujourd’hui.

Toutes nos pensées, Georgette, en souvenir des moments joyeux passés en famille avec toi, de ta générosité, de tes attentions, des couleurs que tu portais et emportais avec toi, toute notre affection et notre peine au moment de te dire au revoir.
Céline et Denis, Pierre et Ghislaine

Mes pensées vont vers toi en ce jour de deuil, même si j'aurais aimé être présent.
Merci pour tous ces beaux souvenirs d'enfance passés à tes côtés.
Ta fin de vie a impacté ta mémoire, mais je suis soulagé que tu aies pu partir sans souffrance et en paix. Tu vas pouvoir rejoindre Papi parti plus tôt. Tendrement.
Ton petit fils.

Nous garderons toujours un très bon souvenir de son hospitalité à Caluire. Nous n’oublions pas Riquet. Nous gardons aussi son sourire d’une visite à Salses.

Je pense à toi ma tante, je garde au chaud dans mon coeur tant de souvenir sde mon enfance et de ta gentillesse.

C'est une partie de mon enfance qui s'évanouie avec la disparition de Georgette. Elle réussissait, avec sa jumelle, à me faire rire sur les photos alors que j'avais peur des photographes... Je me souviens de mes vacances à Lyon avec Bernard et Riquet et des moments partagés en Espagne. Je n'oublie pas les réunions de famille à Blanzy.
Je garde d'elle sa bonne humeur, son dynamisme et sa bienveillance au service des autres tant qu'elle a pu.

Georgette, ma tante, ma marraine mais aussi presque une deuxième maman quand tu retrouvais ta jumelle Thérèse.
Généreuse avec ton prochain, tu nous a fait découvrir la mer à Barcarès, tu étais au service des autres, à la Croix-Rousse, à la Tour du Pin.
Tu nous laisses, mais tu rejoins ta sœur et reste dans nos cœurs.